Ville de Nice : 328 jours de tournage en 2022, un record
Paris - Publié le dimanche 26 février 2023 à 16 h 10 - n° 316718La Ville de Nice a enregistré un record de 328 jours de tournage en 2022, tous formats confondus, a annoncé la ville candidate au titre de capitale européenne de la Culture en 2028, dans un bilan publié le 22 février. Le domaine public niçois a notamment servi de décor pour 23 documentaires, 11 formats numériques, quatre séries TV, 15 émissions TV et trois longs métrages.
Les studios de la Victorine, dont la gestion a été reprise en régie par la commune en 2017, ont accueilli 94 productions audiovisuelles, dont 36 qui ont utilisé les plateaux.
Outre 15 films publicitaires, ils ont accueilli les films Etoile filante d’Abel & Gordon, The Substance de Coralie Fargeat (A Good Story), et Un coup de dés n’abolira jamais le hasard d’Yvan Attal (Curiosa Films).
Du côté des productions télévisuelles, les infrastructures de la Victorine ont été utilisées par six séries et téléfilms dont Ouija pour Netflix (Platinum Dunes, Hasbro Films, Blumhouse Productions), le téléfilm Julia pour HBO Max produit par Peninsula et Meurtres à Valbonne pour France 3 produit par Alef One.
En outre, dans le cadre de l’aide financière accordée aux productions en développement et en tournage, la Ville de Nice a apporté son soutien l’an passé à deux longs métrages : Diamant brut d’Agathe Riedinger et Yaël Langmann (Silex Films) et Tonie de Marielle Gautier-Loreti (Artisans du Film).
Ont aussi été concernés deux documentaires TV, Riviera(s) : L’Invention de la Côte d’Azur de Stéphane Benhamou (Siècle Productions) et Nathalie Baye, sa vie américaine de Camille Hamet et Séréna Robin (Day For Night Productions) ainsi qu’une série TV, La Peste de Gilles Taurand et Georges-Marc Benamou (Siècle Productions).
Depuis sa création, cette aide a été attribuée à huit longs métrages et a généré près de 160 jours de tournage.