INA : lancement d’une nouvelle offre de podcasts originaux, composée de trois séries

L’INAINAInstitut national de l’audiovisuel enrichit son offre de podcasts originaux avec le lancement d’INA Podcasts, composée de trois séries, La Vie d’avant, Les Archives du crime et Echos, a annoncé l’Institut, mardi 21 février. « Cette nouvelle offre propose, grâce à la mobilisation conjointe de nos équipes documentaires, éditoriales et techniques, une façon différente de partager avec tous les publics et toutes les générations la richesse inouïe de nos collections sonores », souligne Laurent Vallet, PDG de l’INA.

Disponibles à partir du 28 février sur toutes les plateformes d’écoute, le site et la chaîne YouTube de l’INA ainsi que l’application Radio France, ces productions sonores s’appuient sur « des instantanés audio » restaurés par les équipes de l’entreprise pour « offrir une qualité d’écoute optimale », pointe l’Institut.

La Vie d’avant propose une plongée au cœur du quotidien des générations passées pour vivre, l’espace d’un instant, au temps de ses parents ou grands-parents. En s’appuyant sur des décennies d’archives issues de la radio ou de la télévision, cette série fait ressortir des témoignages de Français racontant leur quotidien, leurs inquiétudes, leurs émotions ou encore leurs réflexions sur le monde qui change. Le premier épisode (5') s’intéresse aux « écoliers de Sartrouville et la découverte de la mixité à l’école ».

La série Les Archives du crime plonge l’auditeur dans les grandes affaires criminelles du siècle passé à partir d’heures d’entretiens, de témoignages et d’interviews. Elle donne une nouvelle vision de ces faits divers, à partir des voix des enquêteurs, des accusés et des avocats. Composée de 11 épisodes, cette première saison est consacrée à Henri-Désiré Landru et s’intéresse, pour son premier épisode (10'), à la recherche de Célestine Buisson.

Enfin, Echos donne la parole à des personnalités du XX^e siècle dont les combats et les œuvres ont inspiré des générations. Le format partage leurs voix « dans leur format le plus brut, libre de tout commentaire ou interprétation ». Le premier épisode (14') s’intitule 1974 - Gisèle Halimi et la liberté des femmes.